56-0715
La marque de la bête
Et aujourd’hui, quand un homme entend la bonne nouvelle : Christ est mort à votre place, vous n’y êtes pour rien, c’est Christ qui a payé le prix, l’Évangile retentit, vous pouvez laisser tomber toute cigarette, toute chique de tabac, toute bouteille de whisky, tout—tout ce qui vous retient captif, et dire : “Je suis libre. C’est la bonne nouvelle. Christ m’a affranchi.” Vous êtes un peuple libre. Vous n’avez plus à suivre cette voie. Vous n’avez plus à servir le diable. Vous pouvez être libre, si vous avez le désir d’être libre.
Maintenant, vous n’avez plus à boire; vous n’avez plus à être volage; vous n’avez plus à maltraiter votre femme; vous n’avez plus à jurer; vous n’avez plus à mentir; vous n’avez plus à voler; vous n’avez plus à vous sentir abattu. Allons, vous avez là-haut à votre disposition des ressources qui n’ont encore jamais été exploitées, les bénédictions abondantes de Dieu, dont le monde ignore tout.
Vous dites : “Il faut bien que j’aie un peu de plaisir.” Mais, frère, si vous entendez un jour la bonne nouvelle qu’annonce cette trompette, les plaisirs du monde deviendront tellement insignifiants, un airain qui résonne et une cymbale qui retentit — vous n’en aurez plus besoin.
Pain quotidien Jean 8.36
Si donc le Fils vous affranchit, vous serez réellement libres.
- Écoutez également le pain quotidien d'aujourd'hui dans AUDIO. Dieu vous bénisse!
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